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Il y a, au cœur de chaque instant, un souffle.
Invisible, discret, souvent ignoré, il nous accompagne dès la première seconde de vie… jusqu’à la dernière. Et pourtant, la respiration n’est pas seulement un acte physiologique.
Lorsqu’elle devient consciente, elle devient un outil d’ancrage, d’exploration, de régulation, de transformation.
Respirer consciemment, ce n’est pas “bien respirer”. Ce n’est pas contrôler ou corriger.
C’est porter attention. Revenir à ce va-et-vient doux, naturel, qui traverse notre corps.
C’est ressentir. Accueillir. Se relier.
C’est dans cet espace que naît la respiration consciente, parfois appelée “pleine conscience du souffle”, ou encore respiration en pleine présence. Elle ne demande rien… sinon d’être là.
Dans les textes anciens indiens et taoïstes, le souffle est considéré comme le véhicule de la conscience.
Dans les traditions spirituelles, il est “souffle de vie”, “souffle sacré”, “esprit en mouvement”.
Aujourd’hui, la médecine moderne redécouvre ses vertus :
Des centaines d’études dans le monde confirment les effets bénéfiques de la respiration consciente sur :
Des centres hospitaliers à Boston, Londres, Zurich ou Séoul utilisent aujourd’hui des protocoles de respiration consciente pour accompagner patients, soignants et personnels en burn-out.
La respiration consciente n’est pas toujours une méthode “structurée”. Elle peut prendre des formes diverses :
Partout sur la planète, des êtres humains racontent une chose simple :
Quand ils ont respiré en conscience, quelque chose s’est apaisé.
“J’ai arrêté de fuir. J’ai senti mon corps, et j’ai su que j’étais vivant.” – Sophie, France
“J’ai respiré pour la première fois avec présence. J’ai pleuré, sans savoir pourquoi.” – Miguel, Pérou
“La respiration m’a reconnecté à mon enfant intérieur.” – Aiko, Japon
“Depuis que je respire en conscience, je ne suis plus esclave de mes pensées.” – Hamed, Égypte
Ces témoignages viennent de milieux différents : thérapeutes, artistes, enseignants, patients, prisonniers, mères de famille.
Mais ils convergent : le souffle conscient ouvre une porte intérieure.
Parce que le souffle est toujours là.
Il ne juge pas. Il ne se soucie pas de votre passé, de vos doutes, de votre fatigue. Il est là, disponible, fidèle.
Pratiquer la respiration consciente, c’est :
Simplement.
C’est déjà suffisant pour que le système nerveux se régule, pour que le mental ralentisse.
« Ramenez votre attention au souffle, encore et encore, et vous finirez par revenir à vous-même. »
Thich Nhat Hanh